• 21/9/24 au 15/12/24 : Le Crédac, Ivry-sur-Seine - Exposition "Correspondances. Lire Angela Davis, Audre Lorde, Toni Morrison" sous le commissariat d'Elvan Zabunyan et Claire Le Restif. - En savoir plus
  • 26/11/24 : Librairie L'Atelier, Paris - 19h30 - Rencontre autour de la pièce Le Dibbouk d'An-Ski, avec Pascale Samuel (commissaire de l'exposition "Le Dibbouk. Fantôme du monde disparu" au MAHJ) et Macha Fogel.
  • 27/11/24 : Nouvelle librairie internationale V.O., Lille - 19h - Rencontre avec Fernando López Rodríguez autour de son livre Flamenco queer paru à L'Arche. - Entrée libre !
  • 10/4/05 : Musée d'Orsay, Paris - 19h - Soirée autour de Jon Fosse, prix Nobel de littérature 2023, organisée par Gabriel Dufay. - Sur réservation.
Connexion ou créer un compte
Nous utilisons les cookies pour personnaliser le contenu et analyser notre trafic. Veuillez décider quel type de cookies vous êtes prêt à accepter.

Pièces en dix minutes

Seule, lucide et sans argent, Djuna Barnes est morte loin de ses extravagances parisiennes, dans un appartement new-yorkais. Les Pièces en dix minutes reflètent et anticipent cette existence solitaire. Elles ont été écrites pour des magazines comme Vanity Fair ou Shadowland dans les années vingt, et certaines ont été représentées par une troupe bohémienne qui devint fameuse : les « Princetown Players » de Greenwich Village.

Chacune des pièces de cet album possède sa lumière propre, son atmosphère. Dans un boudoir neigeux, la glaciale Lady Fiora Silvertree vit chaste et solitaire. Sur fond de lacs italiens, à l’heure du thé, la comtesse Nicoletti Lupa converse avec sa jeune rivale. Sur la plage d’une île tropicale, dans le Pacifique Sud, se retrouve un couple qu’un naufrage a séparé.

Structure éclatée donc, mais unité profonde. Les héroïnes de Djuna Barnes ne sont en fait qu’une seule et même femme. Hautaines, ironiques, elles refusent toutes l’ordinaire.

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Petites Gouttes de pluie, in Pièces en dix minutes (Little Drops of rain, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Deux Dames prennent le thé, in Pièces en dix minutes (Two Ladies drink Tea, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Elle dit à sa fille, in Pièces en dix minutes (She tells her daughter, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • A des milliers de kilomètres, in Pièces en dix minutes (Five thousand miles, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Trois de la terre, in Pièces en dix minutes (Three from the Earth, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Un Triangle irlandais, in Pièces en dix minutes (An Irish Triangle, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Madame se reprend, in Pièces en dix minutes (Madame collects herself, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Le Sorbet, in Pièces en dix minutes (Water ice, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • La Colombe, in Pièces en dix minutes (The Dove, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • La Beauté au singulier, in Pièces en dix minutes (The Beauty, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Une Passion aveugle, in Pièces en dix minutes (Passion Play, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Le Crépuscule des chiens, in Pièces en dix minutes (To the dogs, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)

Seule, lucide et sans argent, Djuna Barnes est morte loin de ses extravagances parisiennes, dans un appartement new-yorkais. Les Pièces en dix minutes reflètent et anticipent cette existence solitaire. Elles ont été écrites pour des magazines comme Vanity Fair ou Shadowland dans les années vingt, et certaines ont été représentées par une troupe bohémienne qui devint fameuse : les « Princetown Players » de Greenwich Village.

Chacune des pièces de cet album possède sa lumière propre, son atmosphère. Dans un boudoir neigeux, la glaciale Lady Fiora Silvertree vit chaste et solitaire. Sur fond de lacs italiens, à l’heure du thé, la comtesse Nicoletti Lupa converse avec sa jeune rivale. Sur la plage d’une île tropicale, dans le Pacifique Sud, se retrouve un couple qu’un naufrage a séparé.

Structure éclatée donc, mais unité profonde. Les héroïnes de Djuna Barnes ne sont en fait qu’une seule et même femme. Hautaines, ironiques, elles refusent toutes l’ordinaire.

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Petites Gouttes de pluie, in Pièces en dix minutes (Little Drops of rain, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Deux Dames prennent le thé, in Pièces en dix minutes (Two Ladies drink Tea, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Elle dit à sa fille, in Pièces en dix minutes (She tells her daughter, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • A des milliers de kilomètres, in Pièces en dix minutes (Five thousand miles, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Trois de la terre, in Pièces en dix minutes (Three from the Earth, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Un Triangle irlandais, in Pièces en dix minutes (An Irish Triangle, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Madame se reprend, in Pièces en dix minutes (Madame collects herself, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Le Sorbet, in Pièces en dix minutes (Water ice, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • La Colombe, in Pièces en dix minutes (The Dove, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • La Beauté au singulier, in Pièces en dix minutes (The Beauty, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Une Passion aveugle, in Pièces en dix minutes (Passion Play, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)
  • Le Crépuscule des chiens, in Pièces en dix minutes (To the dogs, in Ten-Minute-Plays, traduction Nadine Alcan)