• 2/4/25 : Librairie Le Grand Bain, Bannalec - 19h - Rencontre et signature avec Alice Zeniter autour de sa pièce Edène parue à L'Arche.
  • 3/4/25 : Université Sorbonne-Nouvelle, campus Nation, amphi BR06, Paris 12e - 18h30 - Conférence-concert autour de L'opéra de quat'sous de Bertolt Brecht avec Alexandre Pateau, traducteur, Vincent Leterme, pianiste et chef de chant associé à la Comédie-Française, et de Thierry Raboud, critique littéraire et poète.
  • 4/4/25 : Librairie Petite Egypte, Paris 2e - Pour fêter la nouvelle traduction de L'opéra de quat'sous de Bertolt Brecht, Alexandre Pateau, traducteur, vous présentera la pièce en compagnie de Vincent Leterme, pianiste et chef de chant associé à la Comédie-Française, et de Thierry Raboud, critique littéraire et poète.
  • 4/4/25 au 6/4/25 : Librairie Petite Egypte, Paris 2e - Pendant trois jours, venez au festival Byzance ! organisé par la librairie avec le collectif Les Désirables, et consacré à l'économie sous toutes ses formes en arts, littératures et sciences humaines, orienté par le partage, la circulation et l'insistance des luttes autour de la Méditerranée.
  • 4/4/25 : Escale du livre, Bordeaux - Lecture de Joëlle Sambi. Plus d'informations à venir !
  • 5/4/25 : Librairie Ombres blanches, Toulouse - 11h - Dans le cadre du Printemps Lesbien, rencontre et lecture autour d'Audre Lorde avec Claire Stavaux, éditrice des éditions de L'Arche, et Rina Nissim, éditrice des éditions Mamamélis. - Entrée libre !
  • 5/4/25 : Bibliothèque Robert-Desnos, Montreuil - 20h - Soirée de clôture du festival Hors Limites avec une lecture musicale de Nos territoires par Jessica Biermann Grunstein, Madalina Constantin & Julien Jugand. - Entrée gratuite sur réservation !
  • 10/4/25 : Musée d'Orsay, Paris - 19h - Soirée autour de Jon Fosse, prix Nobel de littérature 2023, organisée par Gabriel Dufay. - Sur réservation.
  • 21/4/25 au 14/4/25 : Grand Palais, Festival du livre de Paris - L'Arche sera présente sur le stand de la région Île-de-France pendant toute la durée du festival ! - Sur réservation.
  • 25/4/25 : Librairie L'Affranchie, Lille - 19h - Rencontre autour d'Adrienne Rich à l'occasion de la parution du Rêve d'un langage commun, avec Shira Abramovich et Lénaïg Cariou, traductrices, Charlotte Blanchard, universitaire, et Claire Stavaux, éditrice.
  • 7/5/25 : Librairie À l'ouest, Paris 14e - 19h - Rencontre avec Christophe Pellet à l'occasion de la parution de son livre Une marche à soi dans la collection Des écrits pour la parole.
  • 24/5/25 au 25/5/25 : La Parole errante, Montreuil - L'Arche sera présente au SLAP, salon d'édition queer et féministe, tout le weekend !
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Lear / La Mer

« J’écris des pièces sur la violence aussi naturellement que Jane Austen écrivait des romans sur les bonnes manières. » Bond, dès la première phrase de sa préface à Lear, annonce la couleur : une couleur sang, car elle fait loi dans notre société. Ne pas le dire serait « immoral ». Lear est une œuvre noire. Elle dit l’illusion du pouvoir de l’homme sur le monde. Derrière Lear, souverain tyrannique trahi par ses filles, il y a l’aveugle mendiant et le prêcheur hanté par ses fantômes.

La Mer occupe dans l’œuvre d’Edward Bond une situation assez particulière et presque paradoxale. Conçue comme devant clore un premier cycle de six pièces, on vit plutôt lorsqu’elle parut, dans son registre élargi et varié, la marque d’un renouvellement et d’un progrès, voire la naissance d’un nouveau Bond plus complexe et plus humain. Accueillie avec une sorte d’heureuse surprise – on n’y retrouvait guère trace de la violence et du sensationnel qui avaient fait jusqu’alors la réputation de son auteur – elle le fut aussi avec perplexité, étant jugée déconcertante et même bizarre. » (Georges Bas)

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Lear (Lear, traduction Georges Bas)
  • La Mer (The Sea, traduction Jérôme Hankins)

« J’écris des pièces sur la violence aussi naturellement que Jane Austen écrivait des romans sur les bonnes manières. » Bond, dès la première phrase de sa préface à Lear, annonce la couleur : une couleur sang, car elle fait loi dans notre société. Ne pas le dire serait « immoral ». Lear est une œuvre noire. Elle dit l’illusion du pouvoir de l’homme sur le monde. Derrière Lear, souverain tyrannique trahi par ses filles, il y a l’aveugle mendiant et le prêcheur hanté par ses fantômes.

La Mer occupe dans l’œuvre d’Edward Bond une situation assez particulière et presque paradoxale. Conçue comme devant clore un premier cycle de six pièces, on vit plutôt lorsqu’elle parut, dans son registre élargi et varié, la marque d’un renouvellement et d’un progrès, voire la naissance d’un nouveau Bond plus complexe et plus humain. Accueillie avec une sorte d’heureuse surprise – on n’y retrouvait guère trace de la violence et du sensationnel qui avaient fait jusqu’alors la réputation de son auteur – elle le fut aussi avec perplexité, étant jugée déconcertante et même bizarre. » (Georges Bas)

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Lear (Lear, traduction Georges Bas)
  • La Mer (The Sea, traduction Jérôme Hankins)