• 10/4/25 : Musée d'Orsay, Paris - 19h - Soirée autour de Jon Fosse, prix Nobel de littérature 2023, organisée par Gabriel Dufay. - Sur réservation.
  • 21/4/25 au 14/4/25 : Grand Palais, Festival du livre de Paris - L'Arche sera présente sur le stand de la région Île-de-France pendant toute la durée du festival ! - Sur réservation.
  • 23/4/25 : Librairie La friche, Paris - Rencontre avec Shira Abramovich et Lénaïg Cariou autour d'Adrienne Rich, à l'occasion de la parution de leur traduction du Rêve d'un langage commun. Plus d'informations à venir !
  • 24/4/25 : Librairie Michèle Ignazi, Paris - 19h - Rencontre avec Christophe Pellet pour le ancement de son dernier livre Une marche à soi, paru à L'Arche dans la collection "Des écrits pour la parole".
  • 25/4/25 : Librairie L'Affranchie, Lille - 19h - Rencontre autour d'Adrienne Rich à l'occasion de la parution du Rêve d'un langage commun, avec Shira Abramovich et Lénaïg Cariou, traductrices, Charlotte Blanchard, universitaire, et Claire Stavaux, éditrice.
  • 7/5/25 : Librairie À l'ouest, Paris 14e - 19h - Rencontre avec Christophe Pellet à l'occasion de la parution de son livre Une marche à soi dans la collection Des écrits pour la parole.
  • 24/5/25 au 25/5/25 : La Parole errante, Montreuil - L'Arche sera présente au SLAP, salon d'édition queer et féministe, tout le weekend !
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Lear / La Mer

« J’écris des pièces sur la violence aussi naturellement que Jane Austen écrivait des romans sur les bonnes manières. » Bond, dès la première phrase de sa préface à Lear, annonce la couleur : une couleur sang, car elle fait loi dans notre société. Ne pas le dire serait « immoral ». Lear est une œuvre noire. Elle dit l’illusion du pouvoir de l’homme sur le monde. Derrière Lear, souverain tyrannique trahi par ses filles, il y a l’aveugle mendiant et le prêcheur hanté par ses fantômes.

La Mer occupe dans l’œuvre d’Edward Bond une situation assez particulière et presque paradoxale. Conçue comme devant clore un premier cycle de six pièces, on vit plutôt lorsqu’elle parut, dans son registre élargi et varié, la marque d’un renouvellement et d’un progrès, voire la naissance d’un nouveau Bond plus complexe et plus humain. Accueillie avec une sorte d’heureuse surprise – on n’y retrouvait guère trace de la violence et du sensationnel qui avaient fait jusqu’alors la réputation de son auteur – elle le fut aussi avec perplexité, étant jugée déconcertante et même bizarre. » (Georges Bas)

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Lear (Lear, traduction Georges Bas)
  • La Mer (The Sea, traduction Jérôme Hankins)

« J’écris des pièces sur la violence aussi naturellement que Jane Austen écrivait des romans sur les bonnes manières. » Bond, dès la première phrase de sa préface à Lear, annonce la couleur : une couleur sang, car elle fait loi dans notre société. Ne pas le dire serait « immoral ». Lear est une œuvre noire. Elle dit l’illusion du pouvoir de l’homme sur le monde. Derrière Lear, souverain tyrannique trahi par ses filles, il y a l’aveugle mendiant et le prêcheur hanté par ses fantômes.

La Mer occupe dans l’œuvre d’Edward Bond une situation assez particulière et presque paradoxale. Conçue comme devant clore un premier cycle de six pièces, on vit plutôt lorsqu’elle parut, dans son registre élargi et varié, la marque d’un renouvellement et d’un progrès, voire la naissance d’un nouveau Bond plus complexe et plus humain. Accueillie avec une sorte d’heureuse surprise – on n’y retrouvait guère trace de la violence et du sensationnel qui avaient fait jusqu’alors la réputation de son auteur – elle le fut aussi avec perplexité, étant jugée déconcertante et même bizarre. » (Georges Bas)

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Lear (Lear, traduction Georges Bas)
  • La Mer (The Sea, traduction Jérôme Hankins)