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Une fête pour Boris

(Ein Fest fur Boris)


Une Bonne Dame en fauteuil roulant, cul-de-jatte, mais assez puissante pour réinventer la réalité à sa manière, organise une fête pour son époux, cul-de-jatte lui aussi, et ses treize compagnons d’infortune.

Une fête pour Boris peut être lu comme une parabole traitant de la fausse liberté engendrée par la société de consommation, dont les seules valeurs sont la propriété et l’argent. Ou encore, comme une critique de la tolérance répressive et de l’infantilisme social. Mais il y a aussi incontestablement une composante autobiographique : un règlement de comptes personnel envers les « Bonnes Dames » qui se penchent sur les marginaux sans le sou pour exercer à leurs dépens un jeu frivole d’autosatisfaction.



Une Bonne Dame en fauteuil roulant, cul-de-jatte, mais assez puissante pour réinventer la réalité à sa manière, organise une fête pour son époux, cul-de-jatte lui aussi, et ses treize compagnons d’infortune.

Une fête pour Boris peut être lu comme une parabole traitant de la fausse liberté engendrée par la société de consommation, dont les seules valeurs sont la propriété et l’argent. Ou encore, comme une critique de la tolérance répressive et de l’infantilisme social. Mais il y a aussi incontestablement une composante autobiographique : un règlement de comptes personnel envers les « Bonnes Dames » qui se penchent sur les marginaux sans le sou pour exercer à leurs dépens un jeu frivole d’autosatisfaction.