Une affaire d'homme
(Mannersache)
Dans Une affaire d’homme, l’amant de la bouchère est jaloux de son chien et du plaisir qu’il donne à sa maîtresse.
Ce texte fait partie d\'un volume regroupant trois courtes pièces qui chacune mettent en scène des personnages qui ne s’expriment pas uniquement par la parole – selon Kroetz, « la primauté du dialogue au théâtre est un préjugé » – mais aussi par le geste : à travers une attitude, une façon de bouger, un silence, ils en disent plus sur eux-mêmes qu’avec des mots. Kroetz semble ainsi vouloir révéler en eux une certaine bestialité qui se dévoile d’abord à travers leur relation à la chair.