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Un sentiment de vie

Comment éprouver le sentiment d’être en vie, le préserver, en garder la beauté ?
C’est ce qu’interroge Claudine Galea dans un texte à la lisière des genres qui creuse la matière même de l’écriture par une langue multiple (souvenirs, propos, fantasmes, ressouvenirs, citations, extraits...).
L’écriture est ici dans la chair. Si elle parle nommément, clairement, de son histoire (son père, la guerre d’Algérie, les souvenirs de cela), l’écrivaine est aussi devant nous habitée par la présence vivante de la littérature, sans distinction entre passé et présent (Büchner mais aussi Falk Richter, un « frère » d’écriture). Comme une communauté de personnages et d’êtres hantés qui nourrissent et portent la pensée, la dramaturgie, la langue, le possible d’une écriture.
Aucune considération de soi à soi mais une transcendance vers des questions essentielles, existentielles.
(Présentation de l’éditrice)

Comment éprouver le sentiment d’être en vie, le préserver, en garder la beauté ?
C’est ce qu’interroge Claudine Galea dans un texte à la lisière des genres qui creuse la matière même de l’écriture par une langue multiple (souvenirs, propos, fantasmes, ressouvenirs, citations, extraits...).
L’écriture est ici dans la chair. Si elle parle nommément, clairement, de son histoire (son père, la guerre d’Algérie, les souvenirs de cela), l’écrivaine est aussi devant nous habitée par la présence vivante de la littérature, sans distinction entre passé et présent (Büchner mais aussi Falk Richter, un « frère » d’écriture). Comme une communauté de personnages et d’êtres hantés qui nourrissent et portent la pensée, la dramaturgie, la langue, le possible d’une écriture.
Aucune considération de soi à soi mais une transcendance vers des questions essentielles, existentielles.
(Présentation de l’éditrice)