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Où la chèvre est attachée, il faut qu'elle broute

« Je suis allée à la rencontre de l'équipe des Dégommeuses, j'ai commencé le foot, j'ai aimé ça, ce que ça signifiait de jouer au foot quand on est une femme, avec un corps spontanément non-sportif. J'ai constaté les rires, l'étonnement quand j'ai raconté à mes proches, le côté presque militant à faire ce sport. [...] J'ai vu la faille béante qui sépare deux pratiques du foot. Ce sport qui a été interdit aux femmes pour leur hygiène... » (Rébecca Chaillon)

Dans le temps du match, onze femmes se mettent en jeu dans un sport généralement présenté comme appartenant aux hommes et plusieurs fois confisqué aux femmes, un sport qui rassemble autant qu'il exclut. Dans ce mouvement de réappropriation, elles racontent une histoire politique des corps, des identités féminines et du football.

« Je suis allée à la rencontre de l'équipe des Dégommeuses, j'ai commencé le foot, j'ai aimé ça, ce que ça signifiait de jouer au foot quand on est une femme, avec un corps spontanément non-sportif. J'ai constaté les rires, l'étonnement quand j'ai raconté à mes proches, le côté presque militant à faire ce sport. [...] J'ai vu la faille béante qui sépare deux pratiques du foot. Ce sport qui a été interdit aux femmes pour leur hygiène... » (Rébecca Chaillon)

Dans le temps du match, onze femmes se mettent en jeu dans un sport généralement présenté comme appartenant aux hommes et plusieurs fois confisqué aux femmes, un sport qui rassemble autant qu'il exclut. Dans ce mouvement de réappropriation, elles racontent une histoire politique des corps, des identités féminines et du football.