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L’été où le ciel s’est renversé

« Deux époques : L’été de la fin de l’enfance & Les grandes personnes.
Cinq personnages : trois filles, Nelle, Luz, Lalla - deux garçons, Boï et Ariel.
Nelle est la Petite, Tu crois que c’est fini l’enfance ? À l’opposé, il y a Lalla, la plus âgée, dont on ne sait ni d’où elle vient, ni où elle va, lorsqu’à la fin de l’été elle aura disparu. Partir, ils en rêvent presque tous, même Boï (pour faire comme les autres). Mais personne ne part à quatorze ans.
Lalla existe-t-elle ? Est-elle, dans leur esprit, la représentation de la liberté et, en même temps, de son envers, la perdition ? Rêves conjugués de vie et de mort, comme on en fait à l’adolescence.
L’histoire se raconte une fois que les personnages sont devenus adultes, des « grandes personnes ». C’est Nelle qui a une vision, le visage de Lalla soudain ressuscité. Ça se passe au moment de l’automne, lorsque les oies s’envolent pour des temps plus cléments.
Boï, Luz et Ariel rejoignent Nelle sur une île au Québec où elle habite. Quarante ans, c’est aussi le temps d’un passage. Ensemble, ils retournent sur les lieux de cet été de la fin de l’enfance, cette période après laquelle rien n’a plus jamais été pareil. Ils se sont dispersés, perdus de vue pour certains, mais aucun n’a oublié ce dernier été et leur princesse secrète, Lalla.
Au bout de ce temps qu’ils passent à rassembler leurs souvenirs parfois contradictoires autour de Lalla, ils se quittent à nouveau. Il était question de retrouver Lalla. C’est ce qu’ils viennent de faire, ils ont clos le chapitre de l’été qui a eu lieu trente ans avant. Que Lalla ait réellement existé, ou qu’elle ait été une apparition, un rêve, elle a incarné en chacun d’eux la part de mystère qui s’ouvre au début de l’adolescence, le rêve du grand départ. »
Claudine Galea

« Deux époques : L’été de la fin de l’enfance & Les grandes personnes.
Cinq personnages : trois filles, Nelle, Luz, Lalla - deux garçons, Boï et Ariel.
Nelle est la Petite, Tu crois que c’est fini l’enfance ? À l’opposé, il y a Lalla, la plus âgée, dont on ne sait ni d’où elle vient, ni où elle va, lorsqu’à la fin de l’été elle aura disparu. Partir, ils en rêvent presque tous, même Boï (pour faire comme les autres). Mais personne ne part à quatorze ans.
Lalla existe-t-elle ? Est-elle, dans leur esprit, la représentation de la liberté et, en même temps, de son envers, la perdition ? Rêves conjugués de vie et de mort, comme on en fait à l’adolescence.
L’histoire se raconte une fois que les personnages sont devenus adultes, des « grandes personnes ». C’est Nelle qui a une vision, le visage de Lalla soudain ressuscité. Ça se passe au moment de l’automne, lorsque les oies s’envolent pour des temps plus cléments.
Boï, Luz et Ariel rejoignent Nelle sur une île au Québec où elle habite. Quarante ans, c’est aussi le temps d’un passage. Ensemble, ils retournent sur les lieux de cet été de la fin de l’enfance, cette période après laquelle rien n’a plus jamais été pareil. Ils se sont dispersés, perdus de vue pour certains, mais aucun n’a oublié ce dernier été et leur princesse secrète, Lalla.
Au bout de ce temps qu’ils passent à rassembler leurs souvenirs parfois contradictoires autour de Lalla, ils se quittent à nouveau. Il était question de retrouver Lalla. C’est ce qu’ils viennent de faire, ils ont clos le chapitre de l’été qui a eu lieu trente ans avant. Que Lalla ait réellement existé, ou qu’elle ait été une apparition, un rêve, elle a incarné en chacun d’eux la part de mystère qui s’ouvre au début de l’adolescence, le rêve du grand départ. »
Claudine Galea