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Le deuil sied à Electre (trilogie)

(Mourning Becomes Electra)

 

Lire l’œuvre d’Eugene O’Neill, c’est contempler un panorama des États-Unis, parcourir leur espace, plonger dans le temps. Il y a le monde bourgeois et ouvrier, les paysans et les Noirs. Il y a les matelots au langage grossier et à l’âme enfantine. Dans Le deuil sied à Électre, c’est l’aristocratie américaine, les seigneurs du Nord, rigides et fermés, qui entrent en scène. La pièce a été élaborée au Château du Plessis en Touraine où O’Neill s’était installé avec sa femme Carlotta au début de 1929. Inspirée par la trilogie de L’Orestie d’Eschyle, la pièce se passe dans la Nouvelle Angleterre au temps de la Guerre de sécession.

 

 

Lire l’œuvre d’Eugene O’Neill, c’est contempler un panorama des États-Unis, parcourir leur espace, plonger dans le temps. Il y a le monde bourgeois et ouvrier, les paysans et les Noirs. Il y a les matelots au langage grossier et à l’âme enfantine. Dans Le deuil sied à Électre, c’est l’aristocratie américaine, les seigneurs du Nord, rigides et fermés, qui entrent en scène. La pièce a été élaborée au Château du Plessis en Touraine où O’Neill s’était installé avec sa femme Carlotta au début de 1929. Inspirée par la trilogie de L’Orestie d’Eschyle, la pièce se passe dans la Nouvelle Angleterre au temps de la Guerre de sécession.