La Société de chasse
(Die Jagdgesellschaft)
Une opérette eschatologique « où un général joue le rôle principal et ce général a une maladie mortelle, ils lui ont arraché le bras gauche à Stalingrad. Et un jour, il va dans la forêt, se blesse à la jambe avec une tronçonneuse et constate en même temps qu’il a la cataracte. »
Une toile de fond grand-guignolesque pour ce grave constat :
« En chacun il y a une maladie mortelle
et une petite blessure souvent tout à fait insignifiante
et souvent même restée inaperçue
la fait se déclarer. »