Jeune fille sur un canapé
(Jenta i sofaen)
Dans Jeune fille sur un canapé, présent et passé se confondent. Une femme peint un portrait d’elle-même plus jeune, assise sur un canapé. De là surgit un cortège de figures hantées par leurs souvenirs. Des scènes de jalousie et de défiance se succèdent, entre mère et sœurs. Cette toile, miroir illusoire d’une jeunesse éternelle ou exutoire d’une enfance meurtrie, revêt une étrange puissance.