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Innocence

(Unschuld)

« Dans Innocence, Dea Loher fait se croiser des destins que les contingences de la vie ont séparés : Il y a Fadoul et Elisio, deux immigrés clandestins noirs, qui ont laissé se noyer une jeune femme et qui craignent les nuits blanches de leurs sentiments de culpabilité. Il y a Rosa, qui aimerait que Franz, son mari, qui travaille à la morgue, la regarde plus souvent. Il y a madame Zucker, la mère de Rosa, dont la jambe est rongée par la gangrène et qui s’installe chez ses enfants. Il y a Absolue, la jeune aveugle qui danse dans un bar du port pour des hommes qu\'elle ne voit pas et qui la désirent. Il y a madame Habersatt, une femme seule, prête à tout pour exister aux yeux des autres, même à se faire passer pour la mère de tueurs en série. Il y a Ella, la philosophe vieillissante, qui ne croit plus aux sciences de l’esprit, et ne veut plus jurer que par les lois du marché économique et de la biologie génétique. Elle soliloque. » (Laurent Muhleisen)

« Dans Innocence, Dea Loher fait se croiser des destins que les contingences de la vie ont séparés : Il y a Fadoul et Elisio, deux immigrés clandestins noirs, qui ont laissé se noyer une jeune femme et qui craignent les nuits blanches de leurs sentiments de culpabilité. Il y a Rosa, qui aimerait que Franz, son mari, qui travaille à la morgue, la regarde plus souvent. Il y a madame Zucker, la mère de Rosa, dont la jambe est rongée par la gangrène et qui s’installe chez ses enfants. Il y a Absolue, la jeune aveugle qui danse dans un bar du port pour des hommes qu\'elle ne voit pas et qui la désirent. Il y a madame Habersatt, une femme seule, prête à tout pour exister aux yeux des autres, même à se faire passer pour la mère de tueurs en série. Il y a Ella, la philosophe vieillissante, qui ne croit plus aux sciences de l’esprit, et ne veut plus jurer que par les lois du marché économique et de la biologie génétique. Elle soliloque. » (Laurent Muhleisen)