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Le pupille veut être tuteur

(Das Mündel will Vormund sein)

Autour d’une ferme, qui est le lieu de l’action, s’étendent des champs de betteraves et de maïs. Dans la pièce principale de la ferme, deux personnages : le fermier et un jeune garçon qui, probablement, aide aux travaux de la ferme.
C’est le fermier – le tuteur – qui a bien entendu le pouvoir. Mais par des détails de comportement de plus en plus sensibles, le garçon – le pupille – indique au tuteur que ce pouvoir est contesté, puis ébranlé.
Dans un premier temps, le tuteur feint de ne pas voir les signes de la contestation ; dans un deuxième temps il pose sur le pupille des regards interrogateurs : s’il ne parvient que péniblement à vivre de la culture de la betterave et du maïs, ne serait-ce pas du fait qu’il est lui-même, le fermier, un pupille, mais de qui au juste ?

Autour d’une ferme, qui est le lieu de l’action, s’étendent des champs de betteraves et de maïs. Dans la pièce principale de la ferme, deux personnages : le fermier et un jeune garçon qui, probablement, aide aux travaux de la ferme.
C’est le fermier – le tuteur – qui a bien entendu le pouvoir. Mais par des détails de comportement de plus en plus sensibles, le garçon – le pupille – indique au tuteur que ce pouvoir est contesté, puis ébranlé.
Dans un premier temps, le tuteur feint de ne pas voir les signes de la contestation ; dans un deuxième temps il pose sur le pupille des regards interrogateurs : s’il ne parvient que péniblement à vivre de la culture de la betterave et du maïs, ne serait-ce pas du fait qu’il est lui-même, le fermier, un pupille, mais de qui au juste ?