• 21/9/24 au 15/12/24 : Le Crédac, Ivry-sur-Seine - Exposition "Correspondances. Lire Angela Davis, Audre Lorde, Toni Morrison" sous le commissariat d'Elvan Zabunyan et Claire Le Restif. - En savoir plus
  • 26/11/24 : Librairie L'Atelier, Paris - 19h30 - Rencontre autour de la pièce Le Dibbouk d'An-Ski, avec Pascale Samuel (commissaire de l'exposition "Le Dibbouk. Fantôme du monde disparu" au MAHJ) et Macha Fogel.
  • 27/11/24 : Nouvelle librairie internationale V.O., Lille - 19h - Rencontre avec Fernando López Rodríguez autour de son livre Flamenco queer paru à L'Arche. - Entrée libre !
  • 10/4/25 : Musée d'Orsay, Paris - 19h - Soirée autour de Jon Fosse, prix Nobel de littérature 2023, organisée par Gabriel Dufay. - Sur réservation.
Connexion ou créer un compte
Nous utilisons les cookies pour personnaliser le contenu et analyser notre trafic. Veuillez décider quel type de cookies vous êtes prêt à accepter.

Théâtre complet - Tome 3

Après La Cerisaie, composée en 1903, Tchekhov, qui mourra l’année suivante, n’a plus rien écrit pour le théâtre. Il existe, entre sa dernière pièce et la toute première – Ce Fou de Platonov – d’assez grandes affinités, tant dans le choix des thèmes, tel celui de la maison natale perdue, que dans les situations et les caractères. Cependant, on perçoit dans La Cerisaie une note optimiste nouvelle : l’auteur proclame ici, par la voix des jeunes, cette foi en un avenir meilleur qui s’affirme également dans d’autres œuvres de sa dernière période.

Des lettres de Tchekhov, il ressort qu’il considérait La Cerisaie comme une comédie gaie, voire comme une farce. L’interprétation de sa pièce par Stanislavski le laissa insatisfait. « Pourquoi », écrivait-il à sa femme Olga Knipper, qui jouait le rôle de Mme Ranevski, « pourquoi s’obstine-t-on, sur les affiches et dans les annonces des journaux, à appeler ma pièce un drame ? Décidément Némirovitch et Alexéev [Stanislavski] voient dans ma pièce autre chose que ce que j’ai écrit, et je te parie tout ce que tu voudras qu’ils ne l’ont pas lue une seule fois avec attention. »

Ce volume contient également toutes les « pièces en un acte de Tchekhov ».

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Une demande en mariage, plaisanterie en un acte (traduction Génia Cannac et Georges Perros)
  • Un jubilé, plaisanterie en un acte (traduction Génia Cannac et Georges Perros)
  • Les Méfaits du tabac (traduction Génia Cannac et Georges Perros)
  • Une noce (traduction Génia Cannac et Georges Perros)
  • L'Ours, plaisanterie en un acte (traduction Génia Cannac et Georges Perros)
  • Sur la grand-route, étude dramatique (traduction Génia Cannac et Georges Perros)
  • Tatiana Repina (Tatiana Repina, traduction Génia Cannac et Georges Perros)
  • Tragédien malgré lui (traduction Génia Cannac et Georges Perros)
  • Le Chant du cygne (traduction Georges Perros et Génia Cannac)
  • La Cerisaie (traduction Génia Cannac et Georges Perros)

Après La Cerisaie, composée en 1903, Tchekhov, qui mourra l’année suivante, n’a plus rien écrit pour le théâtre. Il existe, entre sa dernière pièce et la toute première – Ce Fou de Platonov – d’assez grandes affinités, tant dans le choix des thèmes, tel celui de la maison natale perdue, que dans les situations et les caractères. Cependant, on perçoit dans La Cerisaie une note optimiste nouvelle : l’auteur proclame ici, par la voix des jeunes, cette foi en un avenir meilleur qui s’affirme également dans d’autres œuvres de sa dernière période.

Des lettres de Tchekhov, il ressort qu’il considérait La Cerisaie comme une comédie gaie, voire comme une farce. L’interprétation de sa pièce par Stanislavski le laissa insatisfait. « Pourquoi », écrivait-il à sa femme Olga Knipper, qui jouait le rôle de Mme Ranevski, « pourquoi s’obstine-t-on, sur les affiches et dans les annonces des journaux, à appeler ma pièce un drame ? Décidément Némirovitch et Alexéev [Stanislavski] voient dans ma pièce autre chose que ce que j’ai écrit, et je te parie tout ce que tu voudras qu’ils ne l’ont pas lue une seule fois avec attention. »

Ce volume contient également toutes les « pièces en un acte de Tchekhov ».

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Une demande en mariage, plaisanterie en un acte (traduction Génia Cannac et Georges Perros)
  • Un jubilé, plaisanterie en un acte (traduction Génia Cannac et Georges Perros)
  • Les Méfaits du tabac (traduction Génia Cannac et Georges Perros)
  • Une noce (traduction Génia Cannac et Georges Perros)
  • L'Ours, plaisanterie en un acte (traduction Génia Cannac et Georges Perros)
  • Sur la grand-route, étude dramatique (traduction Génia Cannac et Georges Perros)
  • Tatiana Repina (Tatiana Repina, traduction Génia Cannac et Georges Perros)
  • Tragédien malgré lui (traduction Génia Cannac et Georges Perros)
  • Le Chant du cygne (traduction Georges Perros et Génia Cannac)
  • La Cerisaie (traduction Génia Cannac et Georges Perros)

Fiche technique

  • Publié en 1961
  • 200 pages
  • Prix : 13.00 €
  • Langue source :
  • ISBN : 9782851812834

Traducteur.rice.s

  • Génia Cannac
  • Georges Perros

Les autres livres d’Anton Tchekhov à L’Arche