• 21/9/24 au 15/12/24 : Le Crédac, Ivry-sur-Seine - Exposition "Correspondances. Lire Angela Davis, Audre Lorde, Toni Morrison" sous le commissariat d'Elvan Zabunyan et Claire Le Restif. - En savoir plus
  • 26/11/24 : Librairie L'Atelier, Paris - 19h30 - Rencontre autour de la pièce Le Dibbouk d'An-Ski, avec Pascale Samuel (commissaire de l'exposition "Le Dibbouk. Fantôme du monde disparu" au MAHJ) et Macha Fogel.
  • 27/11/24 : Nouvelle librairie internationale V.O., Lille - 19h - Rencontre avec Fernando López Rodríguez autour de son livre Flamenco queer paru à L'Arche. - Entrée libre !
  • 10/4/05 : Musée d'Orsay, Paris - 19h - Soirée autour de Jon Fosse, prix Nobel de littérature 2023, organisée par Gabriel Dufay. - Sur réservation.
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Drugs kept me alive / Simon, gangster de l'art

Ecstasy, ketamine, poppers, GBH, 2C-B, 2C-1, speed, cocaïne, amphétamines et bulles de savon...
Dans Drugs kept me alive, un performeur monologue sur les substances psychotropes et médicamenteuses, et l'ivresse qu'elles procurent. L'homme est au bord du gouffre et ces molécules sont là pour le soutenir. Il explore toutes les issues de secours, l'aiguille de sa boussole tournée vers les raccourcis entre le ciel et l'enfer, pour toujours avoir une longueur d'avance sur la menace de la Faucheuse.
Sa rapidité est sa meilleure arme, son humour un médicament puissant. Se consumer ou consommer, se consumer en consommant, telle est la question que nous pose ici Jan Fabre, qui aborde du même coup et sous un angle inédit la peur de vivre, la mort et la résurrection des corps.

Dans Simon gangster de l'art, monologue écrit pour l'acteur Matthias Schoenaerts, Jan Fabre étire le masque d'un gangster qui se croit intouchable et se comporte en patron des patrons, en capo di tutti i capi. Au sein de la mafia italienne, être un homme d'honneur est la plus haute vertu. En cavale, Simon change sans cesse d'identité. La loi et les interdits sont écrits par lui, avec lui, en lui ; son corps est même couvert d'extraits du code pénal.

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Simon, gangster de l'art (Simon, gangster van de kunst, traduction Michèle Deghilage)
  • Drugs kept me alive (traduction Michèle Deghilage)

Ecstasy, ketamine, poppers, GBH, 2C-B, 2C-1, speed, cocaïne, amphétamines et bulles de savon...
Dans Drugs kept me alive, un performeur monologue sur les substances psychotropes et médicamenteuses, et l'ivresse qu'elles procurent. L'homme est au bord du gouffre et ces molécules sont là pour le soutenir. Il explore toutes les issues de secours, l'aiguille de sa boussole tournée vers les raccourcis entre le ciel et l'enfer, pour toujours avoir une longueur d'avance sur la menace de la Faucheuse.
Sa rapidité est sa meilleure arme, son humour un médicament puissant. Se consumer ou consommer, se consumer en consommant, telle est la question que nous pose ici Jan Fabre, qui aborde du même coup et sous un angle inédit la peur de vivre, la mort et la résurrection des corps.

Dans Simon gangster de l'art, monologue écrit pour l'acteur Matthias Schoenaerts, Jan Fabre étire le masque d'un gangster qui se croit intouchable et se comporte en patron des patrons, en capo di tutti i capi. Au sein de la mafia italienne, être un homme d'honneur est la plus haute vertu. En cavale, Simon change sans cesse d'identité. La loi et les interdits sont écrits par lui, avec lui, en lui ; son corps est même couvert d'extraits du code pénal.

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • Simon, gangster de l'art (Simon, gangster van de kunst, traduction Michèle Deghilage)
  • Drugs kept me alive (traduction Michèle Deghilage)