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Tristesse et mélancolie

(Traurigkeit & Melancholie)

Dans Tristesse et Mélancolie, Bonn Park met en scène George, une tortue multimillénaire qui se retrouve la toute dernière de son espèce, elle qui a au cours de l’histoire endossé tous les rôles, vécu toutes les vies possibles et expérimenté toutes les choses. Désormais, elle ne souhaite plus que pouvoir mourir, sans pour autant que le fil de son existence daigne se rompre.
Tout comme dans la première pièce du jeune dramaturge, Le grognement de la voie lactée, on retrouve dans son deuxième texte la fascination d’un clair-obscur : car par-delà la dépression qui hante George, par-delà son infinie solitude et la mort de tous ceux qui l’entouraient en des temps que l’on ne parvient même plus à estimer, Bonn Park parvient à immiscer dans l’écriture ses petits éclairs de folie, ses digressions proches de l’absurde et de longues divagations où l’imaginaire tient toujours la première place. La dimension presque joyeuse d’une écriture qui ne se prend pas complètement au sérieux accroît d’autant plus tout ce que la solitude de George comporte d’indicible, d’irreprésentable, d’incommunicable, tandis que la noirceur rend d’autant plus éclatantes ces petites touches colorées qui viennent parsemer le tableau.

Les autres pièces de Bonn Park à l’Agence théâtrale

Dans Tristesse et Mélancolie, Bonn Park met en scène George, une tortue multimillénaire qui se retrouve la toute dernière de son espèce, elle qui a au cours de l’histoire endossé tous les rôles, vécu toutes les vies possibles et expérimenté toutes les choses. Désormais, elle ne souhaite plus que pouvoir mourir, sans pour autant que le fil de son existence daigne se rompre.
Tout comme dans la première pièce du jeune dramaturge, Le grognement de la voie lactée, on retrouve dans son deuxième texte la fascination d’un clair-obscur : car par-delà la dépression qui hante George, par-delà son infinie solitude et la mort de tous ceux qui l’entouraient en des temps que l’on ne parvient même plus à estimer, Bonn Park parvient à immiscer dans l’écriture ses petits éclairs de folie, ses digressions proches de l’absurde et de longues divagations où l’imaginaire tient toujours la première place. La dimension presque joyeuse d’une écriture qui ne se prend pas complètement au sérieux accroît d’autant plus tout ce que la solitude de George comporte d’indicible, d’irreprésentable, d’incommunicable, tandis que la noirceur rend d’autant plus éclatantes ces petites touches colorées qui viennent parsemer le tableau.

Fiche technique

  • Texte inédit
  • Langue source : allemand
  • Nombre de personnages masculins : 1

Traducteur.rice

  • Leyla-Claire Rabih

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