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Sister Son/ji

Dans l’ancien et le maintenant et le jamais plus, la voix de Sister Son/ji s’élève, elle qui est plus vieille désormais que les monts du Mississippi où sont enterrés tous ses beaux enfants. Elle se souvient des jours passés : de l’expérience de la discrimination lors de ses années de faculté, mais également de son tout premier amour ; de sa découverte des discours de Malcom X et des conférences Black Power, mais également de la vie familiale et du désir qui peu à peu flétrit ; de la perte progressive de sa raison à mesure qu’elle s’immerge dans le mouvement et se laisse envahir par une terminologie tout aussi folle qu’elle-même. Mais plus encore que tout cela, Sister Son/ji est un chant à la gloire de ces femmes engagées dans la lutte pour le changement, pour la révolution, qui ont dû endurer tout ce qui survient et survivre par elles-mêmes, par-delà l’oppression, la guerre et la mort de tout ce qui est cher.

Dans l’ancien et le maintenant et le jamais plus, la voix de Sister Son/ji s’élève, elle qui est plus vieille désormais que les monts du Mississippi où sont enterrés tous ses beaux enfants. Elle se souvient des jours passés : de l’expérience de la discrimination lors de ses années de faculté, mais également de son tout premier amour ; de sa découverte des discours de Malcom X et des conférences Black Power, mais également de la vie familiale et du désir qui peu à peu flétrit ; de la perte progressive de sa raison à mesure qu’elle s’immerge dans le mouvement et se laisse envahir par une terminologie tout aussi folle qu’elle-même. Mais plus encore que tout cela, Sister Son/ji est un chant à la gloire de ces femmes engagées dans la lutte pour le changement, pour la révolution, qui ont dû endurer tout ce qui survient et survivre par elles-mêmes, par-delà l’oppression, la guerre et la mort de tout ce qui est cher.