Je rien te deum
C\'est le 11 septembre au matin que le Te deum éclate. Bone se lave les mains dans les toilettes de la première tour. L’avion. La « belle horreur » au cœur du « tout réglé inox ». Bone ne cherche pas à se sauver par l’escalier ni par l’ascenseur. Il cherche un fil, « le fil pour sortir de là, autrement ». Soudain, le fil apparaît, qui mène à l’autre tour : un long fil d’argent qui brille « comme des monnaies sur le bitume, les jours de chance ». Il se lance, à trois cents mètres au-dessus du vide. Autour de lui et en lui, la pensée de son amour et la fin de son monde.
TRADUCTION :
- Yo nada te deum, traduction espagnole de Serge Fohr