Face au mur, Trilogie
(Face to the wall)
Ce qui frappe dans Face au mur et Tout va mieux, c’est l'impact émotif de ces deux textes sur le lecteur/spectateur. Crimp arrive à restituer le choc qu’exerce sur nous la violence avec des moyens qui sont à l’opposé de ce que l’on voit quotidiennement à la télévision ou au cinéma. Aucune image brutale ; et au lieu de la résonance des explosions, il fait chanter un blues. Il arrive à ce que nous nous interrogions sur la question du progrès en martelant une phrase : « Les choses s’améliorent. »