• 15/05/24 : Villa Valmont, Lormont - 19h - Lecture slamée de Joëlle Sambi suivie d’une séance de dédicace, en partenariat avec Cinémarges et la librairie Géolibri. - Entrée libre !
  • 18/05/24 : La Parole errante, Montreuil - L'Arche sera présente au salon de poésie PLS toute la journée ! - En savoir plus
  • 31/05/24 : Librairie L'Atelier, Paris 20e - 19h30 - Lancement de la nouvelle édition de la Critique de la vie quotidienne d'Henri Lefebvre avec Simon Le Roulley (chercheur en sociologie et éditeur chez Grévis) et Marco Assennato (Philosophe spécialiste de l'architecture et des questions urbaines). - Entrée libre !
  • 02/06/24 : La Villette, Paris - 18h - Rencontre croisée avec Joëlle Sambi, Simon Johannin et Rim Battal dans le cadre du festival Mot pour mots. - Réservation recommandée !
  • 26/06/24 : Librairie La Petite Egypte, Paris - Soirée musicale autour de L'opéra de quat'sous de Bertolt Brecht, avec Alexandre Pateau, traducteur, et Vincent Leterme, chef de chant à la Comédie-Française.
  • 20/09/24 au 22/9/24 : Halles de Schaerbeek, Bruxelles - L'Arche sera présente au Poetik Bazar pendant tout le weekend ! - En savoir plus
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Quatre pièces

Dès le début des années quatre-vingt, Jan Fabre s’est livré dans toutes les facettes de son œuvre à une étude du corps avant que cette pratique ne devienne « à la mode ». Sa perception architecturale de l’espace scénique, son attachement à la danse, son interprétation particulière du théâtre comme une œuvre d’art total font de lui un auteur de théâtre unique : à la fois d’une exceptionnelle diversité et d’une rare homogénéité.

Ses pièces – souvent des monologues – sont plutôt discursives mais il n’y a nul doute, l’attaque y est aussi virulente que dans ses autres œuvres. On meurt, on assassine, on souffre et on fait souffrir. La langue est dure comme une pierre, vive et sans pitié, se taillant un chemin dans l’inconscient. Pas de mètre qui assouplirait les mots, pas de rime qui relierait les phrases.

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • L'Ange de la mort (Engel van de dood, traduction Willy Devos et Anny Czupper)
  • Le Marchand de sel et la mouche (Het nut van de nacht, traduction Anny Czupper et Olivier Taymans)
  • Mon corps, mon gentil corps, dis-moi… (Lichaampje, lichaampje aan de wand..., traduction Anny Czupper et Olivier Taymans)
  • Une femme normale-à-en-mourir (Een doodnormale vrouw, traduction Willy Devos et Anny Czupper)

Dès le début des années quatre-vingt, Jan Fabre s’est livré dans toutes les facettes de son œuvre à une étude du corps avant que cette pratique ne devienne « à la mode ». Sa perception architecturale de l’espace scénique, son attachement à la danse, son interprétation particulière du théâtre comme une œuvre d’art total font de lui un auteur de théâtre unique : à la fois d’une exceptionnelle diversité et d’une rare homogénéité.

Ses pièces – souvent des monologues – sont plutôt discursives mais il n’y a nul doute, l’attaque y est aussi virulente que dans ses autres œuvres. On meurt, on assassine, on souffre et on fait souffrir. La langue est dure comme une pierre, vive et sans pitié, se taillant un chemin dans l’inconscient. Pas de mètre qui assouplirait les mots, pas de rime qui relierait les phrases.

Ce recueil est composé des textes suivants :

  • L'Ange de la mort (Engel van de dood, traduction Willy Devos et Anny Czupper)
  • Le Marchand de sel et la mouche (Het nut van de nacht, traduction Anny Czupper et Olivier Taymans)
  • Mon corps, mon gentil corps, dis-moi… (Lichaampje, lichaampje aan de wand..., traduction Anny Czupper et Olivier Taymans)
  • Une femme normale-à-en-mourir (Een doodnormale vrouw, traduction Willy Devos et Anny Czupper)